Tarte aux asperges, ricotta et pesto d’ail des ours avec l’huile d’olive GranFruttato Monini

Bon, je pense que vous avez compris depuis quelques temps que j’avais une véritable passion pour les tartes. Après en avoir fait de nombreuses recettes par ici et même des livres, je ne m’en lasse pas et je trouve toujours une excuse pour en faire de nouvelles. Et cette fois-ci, c’est la marque d’huile d’olive italienne Monini qui m’a mis au défi. Depuis 1920, leurs huiles de qualité premium sont produites et assemblées par les membres de la famille, qui se transmettent un savoir-faire unique depuis plusieurs générations. De la culture des olives à la pression, les huiles sont réalisées dans le respect de la nature et la passion du goût. Donc pas étonnant de voir que Monini est aujourd’hui la marque d’huile d’olive numéro 1 en Italie, et surtout pas très étonnant non plus de voir que j’ai eu envie de la tester sachant tout l’amour qui est mis dans ce produit.

Il y a quelques jours, j’ai reçu leurs huiles Classico et GranFruttato afin de les tester à la maison et j’ai eu envie de les mettre à l’essai dans une de mes fameuses recettes de tarte. Et plutôt que de simplement arroser le tout d’huile d’olive, j’ai décidé de l’intégrer à ma recette en réalisant ma pâte à tarte à base d’huile d’olive. Oui, oui, c’est possible ! J’ai tout simplement remplacé tout le beurre que j’utilise habituellement pour mettre à la place l’huile d’olive GranFruttato qui a un parfum riche et intense, idéale pour apporter de nouvelles saveurs à ma pâte. J’ai choisi d’accompagner cette pâte à l’huile d’olive qui sent bon le soleil, d’une botte d’asperges, de ricotta et d’un petit pesto d’ail des ours (il faut en profiter maintenant car la saison est très courte). Une recette toute fraîche qui nous fait terriblement penser aux vacances…

Allez, arrêtons de nous faire du mal car les vacances ce n’est pas pour tout de suite, par contre, ma petite recette de tarte aux asperges, ricotta et pesto d’ail des ours vous attend dès maintenant !

Ingrédients pour une tarte de 6 personnes
Pour la pâte à tarte : 
• 250g de farine
• 2 pincée de sel
• 1 oeuf
• 6 c. à s. d’huile d’olive GranFruttato
• 3 c. à s. d’eau froide
• Quelques branches de thym

Pour le pesto d’ail des ours : 
• 100g d’ail des ours
• 50g de pignons de pin
• 50g de parmesan
• 50g d’huile d’olive GranFruttato
• 1 pincée de sel

Pour la garniture : 
• 1 botte d’asperges vertes
• 275g de ricotta
• 4 c. à s. de crème liquide
• Huile d’olive GranFruttato
• Sel
• Poivre
• Piment d’espelette
• Estragon
• Noisettes grossièrement hachées
• Quelques fleurs comestibles


Préparation : 
Étape 1 : la pâte à tarte
Dans un bol, mélanger la farine et le sel.
Ajouter l’huile d’olive, l’oeuf préalablement battu et l’eau.
Mélanger afin d’obtenir une pâte homogène.
Ajouter les feuilles de thym puis pétrir légèrement.
Ne pas trop pétrir la pâte sinon elle va devenir trop élastique.
Emballer la pâte à l’aide de film alimentaire et placer au frais au moins 2 heures.
Attention la pâte ne durcira pas comme elle le fait avec le beurre.

Étape 2 : le pesto d’ail des ours
Mettre tous les ingrédients dans un mixeur puis mélanger jusqu’à obtenir une texture homogène.
Verser dans un récipient hermétique.
Réserver.

Étape 3 : le montage
Préchauffer le four à 180°C.
Beurrer et fariner le moule à tarte, puis abaisser la pâte.
Piquer le fond à l’aide d’une fourchette puis placer des billes de cuisson ou des légumes secs sur le fond de tarte.
Enfourner pour 30 minutes.
Le fond de tarte va légèrement rétrécir mais c’est tout à fait normal.
Pendant ce temps, laver les asperges, couper le bout (pas la pointe qu’on adore mais l’autre côté).
Couper les asperges en deux puis les placer dans un bol.
Verser 2 ou 3 cuillères d’huile d’olive sur les asperges.
Saler légèrement puis enrober les asperges à l’aide de vos mains.
Faire cuire les asperges environ 6 minutes dans une poêle bien chaude.
Une fois cuite, les déposer sur un papier absorbant et réserver.
Une fois le fond de tarte cuit, le laisser refroidir entièrement.
Dans un bol, mélanger la ricotta et la crème liquide.
Saler, poivrer puis étaler sur le fond de tarte refroidi.
Placer les asperges, elles aussi refroidies, sur la riccotta.
A l’aide d’une cuillère, verser quelques pointes de pesto sur les asperges.
Ajouter une petite touche de piment d’Espelette, quelques feuille d’estragon, les noisettes hachées et les fleurs comestibles.
Saler, poivrer.

 

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Fregula sarda alle vongole

En ce moment, je ne sais pas pourquoi mais j’ai une véritable passion pour les palourdes, les coques, et les crustacés de manière générale haha. Les spaghetti alle vongole ont toujours été un de mes plats italiens préférés et j’avoue que lorsque je vais au restaurant et que ce plat est à la carte c’est souvent vers celui-ci que je vais me diriger (allez, avouez, vous aussi vous connaissez ça). Bref, il y a quelques jours, je me suis dit qu’il était peut être temps d’essayer d’en faire à la maison. Du coup, je me suis lancée dans la préparation d’un bon plat de pasta, et chose qui m’a plutôt surpris, c’est une recette qui est super simple à préparer. Les crustacés ou les poissons sont des ingrédients qui « m’effraient » un peu parfois car j’ai toujours peur de rater la cuisson et de ne pas rendre justice à un bon produit… Mais finalement une fois qu’on se lance et qu’on respecte bien les temps de cuisson c’est un véritable jeu d’enfant. Après avoir dégusté mes fameuses linguine (oui je n’avais pas de spaghetti à la maison) alle vongole je me suis dit qu’il serait peut être sympa de tester d’autres recettes avec les palourdes.

Je suis donc passée chez RAP, surement la meilleure épicerie italienne de Paris, pour chercher un peu d’inspiration et surtout trouver les pâtes qui allaient être au centre de ma recette et s’associer avec mes petites palourdes. Et mon coeur s’est arrêté sur la fregula sarda ou fregola, une pâte typique de sardaigne réalisée à base de semoule de blé dur et d’eau. Je n’en avais encore jamais fait à la maison, du coup je me suis dit que c’était l’occasion. Comme le résultat était plutôt pas mal, voire même délicieux, j’ai décidé de vous partager la recette par ici. Il s’agit donc de fregula sarda aux palourdes et sauce tomate.

Ingrédients pour 2 personnes :
• 200g de fregula sarda
• 350g de palourdes ou coques
• 1/2 poivron rouge
• 1/2 oignon
• 2 gousses d’ail
• 10cl de vin blanc
• 20cl de purée de tomate
• Huile d’olive
• Sel
• Poivre
• Basilic

Préparation :
Tremper les palourdes pendant 20 minutes dans de l’eau fraîche afin de les nettoyer.
Retirer l’eau puis réserver.
Dans un casserole, porter à ebullition 1,5 litre d’eau salée.
Ajouter les fregula et laisser cuire entre 8 et 10 minutes (selon si vous les préférez plus ou moins al dente).
Pendant ce temps, émincer l’oignon et l’ail.
Couper le demi poivron rouge en petits morceaux.
Dans une poêle, verser 2 cuillères à soupe d’huile d’olive puis faire revenir l’oignon, l’ail et le poivron rouge pendant quelques minutes.
Ajouter ensuite le vin blanc, puis la purée de tomate.
Laisser mijoter environ 5 minutes.
Verser une louche d’eau de cuisson des pâtes dans la poêle, ajouter les palourdes.
Couvrir et laisser cuire pendant 3 à 4 minutes en mélangeant de temps en temps.
Égoutter les pâtes puis les verser dans la poêle.
Saler, poivrer et mélanger.
Servir avec quelques feuilles de basilic et un filet d’huile d’olive

Calendrier de recettes avec Les banques alimentaires

Aujourd’hui je vais vous parler d’un beau projet auquel j’ai eu la chance de participer et qui me tient très à coeur. Pour celles et ceux qui me suivent sur Instagram, vous devez surement déjà avoir une petite idée du projet dont je vais vous parler… Il s’agit de ma collaboration avec Les Banques Alimentaires. Avant de vous parler plus en détails de cette collaboration, je voudrais vous en dire un peu plus sur ce que sont les Banques Alimentaires, ce qu’elles font au quotidien et ce qu’elles représentent aujourd’hui.

En France, 8,8 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, soit 14% de la population française (INSEE, sept 2015). L’aide alimentaire en France concerne 3,9 millions de français : un chiffre sous-estimé sans doute par rapport aux besoins, la demande de l’aide alimentaire restant une démarche souvent difficile ou mal connue. Sur ces 4 millions de personnes, le réseau des Banques Alimentaires permet d’en aider 2 millions, soit la moitié ! Premier réseau d’aide alimentaire en France, les Banques Alimentaires sont fondées sur des principes qui régissent le quotidien des 102 banques et antennes : le partage, le bénévolat, le don et la gratuité. Leur mission principale est de récupérer quotidiennement les invendus alimentaires auprès de la grande distribution, des industries agroalimentaires et des agriculteurs. Le reste est fourni par l’Europe ou récolté lors de la Collecte Nationale auprès du grand public dans les supermarchés le dernier week-end de novembre. Donc vous l’aurez compris, aucun produit n’est acheté !

Le fonctionnement des Banques Alimentaires est doublement spécifique puisque qu’elles ne distribuent pas directement aux bénéficiaires mais à un réseau de 5400 partenaires associatifs (des grands réseaux comme la Croix Rouge à des petites associations de quartiers). Représentant ainsi un maillage unique pour couvrir au maximum les besoins alimentaires des plus précaires dans toutes la France.

Et parce que les Banques Alimentaires croient fort au fait que l’alimentation est vecteur de lien social, parce que venir dans une association chercher un panier permet aussi d’échanger, de sortir de l’isolement, elles organisent dans les associations des ateliers cuisine. Ils recréent le lien social et redonnent l’envie de prendre soin de soi, de la façon la plus simple et abordable possible, avec des thématiques variées : cuisine du monde, petit budget, cuisine au micro-ondes, anti-gaspi, générations et transmission, etc. En 2017, environ 6000 ateliers ont été initiés ou organisés par les Banques Alimentaires, soit 55 000 participants ! Pour mener à bien ces ateliers, les Banques Alimentaires mettent à disposition des cuisinettes mobiles, du matériel mais aussi des supports pédagogiques.

Parmi ces supports pédagogiques, les Banques Alimentaires ont eu l’idée de créer un calendrier pour permettre de transmettre des recettes simples, de saison et à petit budget à ses bénéficiaires. L’objectif étant de leur montrer qu’avec les denrées qu’ils récupèrent auprès des différents réseaux et associations, ils peuvent réaliser de délicieuses recettes qui se préparent avec peu de matériel. Et c’est justement là que j’interviens ! Il y a quelques mois maintenant, j’ai été contacté par les équipes des Banques Alimentaires qui souhaitaient mettre en lumière leur calendrier au travers de jolies photos. Car oui, ici l’objectif n’était pas que j’invente ou que je crée des recettes. L’idée était de mettre en valeur les recettes réalisées par les bénévoles qui animent les ateliers de cuisine des Banques Alimentaires. Mon travail était simplement de sublimer et de donner un coup de projecteur sur l’énorme travail et la générosité dont font part tous ces bénévoles.
Nous avons donc sélectionné des recettes de saison pour chaque mois, que j’ai ensuite préparé et shooté pour intégrer au fameux calendrier que vous pouvez télécharger juste ici !

Ça a été un énorme plaisir pour moi de participer à ce projet. Et pouvoir mettre à contribution mon travail pour de belles initiatives comme celle-ci est très important. J’espère que ces recettes vous plairont, que vous aurez envie de les imprimer, de les accrocher dans votre cuisine et surtout de les refaire chez-vous. Mais j’espère aussi que cela vous sensibilisera encore un peu plus sur le travail des Banques Alimentaires, de ses bénévoles et que vous aurez envie, vous aussi, de faire un petit geste lors des prochaines collectes nationales.

Enfin je tenais à terminer cet article en remerciant énormément Anne Etorre, sans qui je n’aurais surement pas pu participer à cette belle opération. Mais aussi Anne Hepner, Solène, Audrey, Michèle Cécile et Ėlodie des Banques Alimentaires avec qui j’ai eu le plaisir d’échanger, et qui ont su me faire confiance sur ce projet.

⎨Concours⎬Tarte rose aux pommes pochées au sirop de fleur de sureau

Bon… à défaut d’avoir un Valentin pour m’offrir un beau bouquet de roses en cette journée des amoureux, en même temps c’est tellement surfait (remarque de célibataire je l’avoue haha), je me suis dit qu’il n’y avait aucune raison pour que je ne me fasse pas un petit cadeau à moi même. Et quoi de mieux qu’une bonne pâtisserie maison pour une gourmande comme moi ?! Bon même si je n’ai pas d’amoureux sous la main, rien ne m’empêche de me mettre dans l’ambiance et de me préparer un petit quelque chose qui célèbre la Saint Valentin, et qui par la même occasion pourrait vous inspirer si vous aussi vous voulez vous faire plaisir ou faire plaisir à votre moitié. Du coup, pour cette nouvelle recette, l’idée était toute trouvée, presque une évidence même. Une tarte rose bien sûr ! J’avais vu passer cette tendance l’année dernière mais je n’avais jamais tenté d’en réaliser, c’est maintenant chose faite. Alors vu comme ça cela parait hyper compliqué, mais en fait il suffit juste d’être un peu patient (un peu comme avec l’amour non ?). Et autant vous dire que ça en vaut vraiment la peine une fois qu’on croque dans ce véritable mille feuilles de pommes… Rien que de vous en parler ça me donne envie de reprendre une part (et oui c’est l’avantage quand on se fait une tarte et qu’on est seule, on peut se resservir sans problème haha). Bref… pour cette nouvelle recette, je suis partie de la recette classique de la tarte rose que j’ai twisté à ma façon en faisant légèrement pocher les pommes dans un sirop de fleur de sureau. Cela apporte une petite douceur en plus, et puis je suis totalement fan de la fleur de sureau donc ça me donnait juste une excuse pour en utiliser dans ma recette.

En plus de vous offrir cette petite recette, je me suis dit que j’allais vous faire un autre cadeau. Car oui, la Saint Valentin c’est la journée où on célèbre les personnes qu’on aime. Et vous savez quoi ? Moi je VOUS aime. Vous êtes chaque jour de plus en plus nombreux à suivre mes aventures par ici, ou sur Instagram, et vous ne pouvez pas savoir à quel point ça me fait chaud au coeur. Lire vos petits commentaires, répondre à vos questions, échanger avec vous sur tout et n’importe quoi… Je me dis que j’ai bien de la chance de vous avoir et qu’il faut parfois aussi vous remercier d’être toujours présents après toutes ces années (bah oui, ça fait presque 5 ans quand même…).
Du coup, pour cette jolie petite surprise, je me suis associée à Lomography, vous savez la marque d’appareils photos et accessoires qui défend la photographie argentique expérimentale et créative. Et bien avec Lomography nous avons décidé de vous offrir la chance de gagner un Lomo’Instant Automat Cabo Verde, un appareil instantané super créatif, facile d’utilisation, compact et fun ! De quoi réaliser de beaux clichés de vous et votre moitié, ou comme moi, d’immortaliser sur papier glacé vos pâtisseries préférées. On n’est pas sympa franchement ?
Pour tenter votre chance il vous suffit de cliquer ici et de remplir le petit formulaire (rien de bien compliqué, promis). Vous avez jusqu’au 28 Février pour participer. Le gagnant sera tiré au sort parmi les commentaires, annoncé juste ici et contacté par email.

CONCOURS TERMINÉ ! 
Mille mercis pour vos TRÈS nombreuses participations ! Je suis ravie que ce petit concours vous ait plu et j’espère pouvoir vous en proposer d’autres comme celui-ci à l’avenir. Après tirage au sort c’est Isabelle HENRY qui a été désignée grande gagnante de ce concours. Félicitation à vous Isabelle, nous vous contactons par mail très vite.

Bon maintenant que vous avez participé, passons aux choses sérieuses avec ma petite recette de tarte rose aux pommes pochées au sirop de fleur de sureau.

Ingrédients pour une tarte de 22cm de diamètre :
Pour la pâte :
• 250g de farine
• 125g de beurre
• 80g de sucre en poudre
• 1 jaune d’oeuf
• 2 cuillères à soupe d’eau glacée
• 1 pincée de sel

Pour la garniture :
• 4 grosses pommes royal gala bio (important car on garde la peau des pommes)
• le jus d’un citron
• 1,20l d’eau
• 100g de sucre en poudre
• 4 cuillères à soupe de sirop de fleur de sureau
• 40g de beurre
• 20g de sucre de coco

Préparation :
Étape 1 -> la pâte
Tamiser la farine puis incorporer le beurre et le sel.
Mélanger du bout des doigts jusqu’à obtenir un mélange sablé.
Faire un puits au centre du mélange, ajouter le jaune d’oeuf, l’eau et le sucre.
Mélanger tous les ingrédients sans trop travailler la pâte.
Puis écraser avec la paume de la main pour l’amalgamer.
Former une boule, emballer dans du film alimentaire et mettre au frais pour minimum 2 heures.

Étape 2 -> la garniture
Couper les pommes en quartiers puis ôter le coeur et les pépins.
Couper chaque quartiers en fines lamelles puis les déposer dans un saladier.
Arroser les lamelles de jus de citron, pour empêcher l’oxydation.
Réitérer l’opération avec les autres pommes.
Dans une casserole, porter à ébullition l’eau, le sucre et le sirop de fleur de sureau.
Verser les lamelles de pommes dans la casserole et laisser cuire environ 8 minutes à feu doux.
Egoutter les pommes, puis réserver.

Étape 3 -> le montage
Préchauffer le four à 190°C.

Foncer le moule à tarte et enfourner pour une quinzaine de minutes. Réserver.
Faire fondre le beurre puis ajouter le sucre et mélanger.
Badigeonner la moitié du mélange sur le fond de tarte précuit.
Sur le plan de travail, déposer une lamelle de pommes, puis une autre à côté en chevauchant la précédente.
Disposer une dizaine de lamelles afin d’obtenir une grande bande puis enrouler la sur elle-même jusqu’à former la base de la rose.
Disposer cette rose au centre de la tarte, puis enrouler les autres lamelles autour de ce coeur tout en continuant à chevaucher la précédente lamelle à chaque fois.
Réitérer l’opération jusqu’à remplir le fond de tarte.
A l’aide d’un pinceau, badigeonner les lamelles de pommes du reste de mélange beurre – sucre de coco.
Enfourner pendant 30 minutes.
Saupoudrer de sucre glace avant de servir.

Carrot cake et sa chantilly infusée au Løv is Green

Et si on débutait l’année du bon pied avec une délicieuse petite recette et de la nouveauté ?! Il y a quelques jours, j’ai pu recevoir le dernier né de chez Løv Organic et autant vous dire que cette nouvelle création m’a bien surpris. En ce début d’année 2018, Løv Organic fait sa green révolution et a décidé de créer une toute nouvelle infusion à base de légumes. Oui, oui vous avez bien lu, des légumes ! Cette nouvelle recette des plus étonnantes, a été réalisée à base de feuilles d’épinard pour la touche végétale et de carottes qui apportent une petite note sucrée et acidulée. Pour compléter ce mélange détonnant, Løv Organic a ajouté de la poire et de la pomme pour apporter de la gourmandise et de l’équilibre. Bref, une préparation idéale pour se mettre au vert tout en se blottissant dans le canapé avec son plaid. Et pour couronner le tout, cette infusion est préparée à base de produits bio, elle est pas belle la vie ?!

Bref, après avoir gouté cette petite infusion le weekend dernier, j’ai eu l’idée de l’intégrer dans l’un de mes gâteaux préférés, j’ai nommé le carrot cake ! Alors non seulement l’association était évidente puisque l’infusion est composée de carotte mais en plus, elle apportait une petite touche différente à ma recette. Le résultat était tellement chouette que je me suis dit que j’allais le partager avec vous.

D’ailleurs si toi aussi ça te dit de tester le Løv si Green, Løv Organic t’offre la possibilité de gagner un super panier rempli de belles et bonnes choses 100% Green Spirit. Vous pourrez y retrouver une boite de Løv si Green ainsi qu’un løvely mug, un exemplaire du super livre de recettes d’Angèle, un exemplaire du premier numéro de YouFood, un magnifique kit à terrarium Merci Raymond, une bougie parfumée à la carotte sauvage (senteur de dingue, je l’adore) de chez Kerzon et enfin une crème hydratante Shiseido Waso. De quoi bien démarrer l’année, vous ne trouvez pas ?
Pour tenter de remporter l’un des 5 paniers mis en jeu, rendez-vous par ici.
Allez hop, maintenant on passe en cuisine !

Ingrédients pour un gâteau pour 8 personnes :
Pour le cake :
• 150g de beurre
• 3 oeufs
• 100g de sucre
• 100g de sucre roux
• les graines d’une gousse de vanille
• 160g de farine
• 2 c. à c. de levure chimique
• 1 c. à s. de cannelle
• 100g de compote de pomme
• 250g de carottes
• 50g de cerneaux de noix
• 50g de noix de pécan

Pour la chantilly infusée :
• 10cl de crème liquide
• 2 c. à s. de mélange Løv is Green
• 100g de mascarpone
• 20g de sucre glace

Pour le dressage :
• quelques cerneaux de noix
• quelques noix de pécan
• chantilly infusée
• cannelle

Préparation : 
Étape 1 -> la chantilly, à préparer la veille
Mettre la crème liquide dans une casserole. Monter la crème à ébullition sur feu doux.

À ébullition, incorporer le mélange Lov is Green.
Retirer la casserole du feu, couvrir et laisser infuser 30 minutes.
Filtrer la crème, la laisser refroidir à température ambiante puis la réserver au frigo.

Le lendemain, fouetter la crème liquide à l’aide d’un robot jusqu’à ce qu’elle épaississe.
Ajouter le mascarpone puis le sucre glace tout en continuant de battre jusqu’à obtenir un mélange bien épais et homogène.

Réserver au frais jusqu’au moment de dresser.

Étape 2 -> la pâte à carrot cake
Peler et râper les carottes. Réserver.
Concasser les noix et les noix de pécan. Réserver.
Préchauffer le four 180°C.
Faire fondre le beurre puis le laisser refroidir.
Dans un saladier, mélanger les oeufs et les sucres.
Incorporer ensuite le beurre et la vanille.
Ajouter la farine, la levure et la cannelle, puis mélanger jusqu’à obtenir une préparation homogène.
Incorporer la compote de pomme et mélanger de nouveau.
Terminer en incorporant les carottes râpées, les noix et les noix de pécan. 
Mélanger légèrement. 
Verser la préparation dans un moule à bundt cake et enfourner pour 50 minutes. 

Étape 3 -> le dressage
Une fois bien refroidi, couper le carrot cake en deux dans l’épaisseur.
Placer la première épaisseur sur un plateau ou une assiette puis étaler une bonne partie de la chantilly infusée.
Réserver un peu de chantilly pour décorer le gâteau.
Déposer délicatement la seconde épaisseur du gâteau sur la chantilly.
À l’aide d’une poche à douille déposer quelques touches de chantilly infusée sur le carrot cake.
Parsemer le tout de noix, noix de pécan et saupoudrer un peu de cannelle.

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Un weekend à Madère

Il y a quelques semaines, j’ai eu la chance de partir pour un joli petit weekend à Madère en compagnie des adorables Mylène, Manuella et Morgane.  Au programme de ces quelques jours au soleil (car oui nous étions au mois de Septembre et au mois de Septembre à Madère il fait un temps de dingue) : la découverte de l’île, de sa culture, de ses habitants, de ses traditions et de sa gastronomie. Autant vous dire tout ce que j’aime !

C’était la toute première fois de ma vie que j’allais à Madère et je peux déjà vous dire que ce ne sera pas la dernière tellement j’ai adoré ce séjour. Rien que l’atterrissage sur l’île nous met des paillettes dans les yeux et des papillons dans le ventre ! Une fois les deux pieds sur terre, on prend la voiture et on profite du sublime paysage sur la route jusqu’à Funchal, capitale de l’archipel de Madère et ville où nous avons déposé nos valises durant ce weekend.

Avant de partir à la découverte de la ville, petit passage à l’Hôtel Madeira pour déposer nos valises. Situé en plein coeur de Funchal, l’Hôtel Madeira est idéalement placé pour profiter à pieds de tout ce que peut offrir la ville. Petit plus, il possède une piscine sur le toit avec une très jolie vue, enfin je dis ça je dis rien… Une fois les valises déposées dans nos chambres, direction la place centrale de la ville pour découvrir les animations mises en place pour le Festival du Vin. Ah oui, je ne vous ai pas dit mais tout ce petit weekend à Madère était organisé à l’occasion du Madeira Wine Festival, un festival qui a lieu tous les ans à Madère depuis les années 70. L’idée ici est de célébrer le vin, qui représente une grande part de l’économie de l’île mais aussi toute la culture et les traditions qui tournent autour. Pour cela un village du vin est installé sur la grande place de Funchal. On y retrouve de nombreuses animations comme des concerts, des dégustations de vins, des déjeuners et dîners préparés par de grands chefs de l’Archipel ou venant du continent, des expositions, etc… Après un petit tour dans le village, direction le restaurant (bah oui ça creuse toute cette marche) pour un dîner typiquement madérien. Pour cela nous avons rendez-vous à l’Adega da Quinta, où nous attend une petite table avec vue sur l’océan. D’ailleurs, pour être tout à fait franche avec vous, à Madère c’est assez dur, voir quasiment impossible, d’avoir un lieu sans vue. Toute l’architecture est pensée de manière à permettre à chacun d’avoir une superbe vue sur l’océan. Si c’est pas le rêve franchement !

L’Adega da Quinta est situé dans les hauteurs, à Câmara de Lobos. Et c’est dans ce restaurant que s’est fait la plus grosse découverte gustative de ce séjour : j’ai nommé le Bolo do Caco ou plus communément appelé le kiffe suprême (enfin c’est plutôt moi qui l’appelle comme ça). Cette spécialité culinaire est composée d’un pain à base de farine de blé et de patate douce, cuit sur pierre et garni de beurre aillé et persillé. Le tout servi encore chaud à table… vous imaginez un peu le truc. Et bien voilà à peu près à quoi s’est résumé mon alimentation durant ces quelques jours : du bolo do caco à tous les repas tellement j’adore ça. Une fois qu’on y a goûté, on ne peut plus s’en passer. D’ailleurs rien que de vous en parler me donne envie de retourner à Madère pour en manger… Autre délicieuse spécialité du coin, c’est l’espetada : de la viande de boeuf frottée à l’ail (oui ils aiment beaucoup l’ail sur l’île donc si tu prévoyais de pécho là-bas réfléchis 5 minutes avant de choisir ton plat haha), au sel et au laurier, cuite sur des braises et servie sur des pics à brochette version XXL. Bon dit comme ça je suis d’accord que ça ne vous vend pas forcément du rêve mais je vous assure que c’est hyper bon, la viande est d’une tendreté assez dingue… Et puis lorsque vous commandez cette fameuse espetada vous pouvez être sûr que le repas va être fun car retirer son morceau de viande sans redécorer toute la nappe c’est un sacré défi ! C’est le ventre bien arrondi que nous sommes redescendues à notre hôtel pour une bonne nuit de sommeil.

Réveil matinal pour cette deuxième journée à Funchal, nous avions rendez-vous à Estreito de Câmaro de Lobos pour la suite des festivités. Comme je vous le disais un peu plus haut, ce séjour à Madère avait lieu dans le cadre du Festival du Vin et qui dit vin, dit récolte ! Nous avons eu la chance de participer à la récolte des grappes de raisins en compagnie des habitants du village qui étaient tous réunis pour l’occasion, des plus jeunes aux plus agés, sans exception. Ici tous les habitants sont hyper fières de célébrer les coutumes de île et de les montrer aux nombreux étrangers et visiteurs présents pendant le festival. Après avoir ramassé 2 – 3 grappes, il est temps de retourner dans le centre ville pour assister au défilé de costumes. Tous les habitants sont une fois de plus mis à profit pour illustrer les traditions de l’île. Petits et grands prennent ainsi plaisir à défiler dans les rues de la ville pour notre plus grand plaisir.

Une fois le défilé terminé, nous reprenons la route vers le Cabo Girão, l’un des points de vue les plus impressionnants de l’île. On y retrouve une plateforme en verre avec une vue imprenable sur le vide à exactement 580m de hauteur… Chers acrophobes, cette activité n’est malheureusement pas faite pour vous. J’avoue que même moi qui n’ai pourtant pas peur du vide, je n’étais pas hyper rassurée sur cette plate-forme mais punaise, ça vaut tellement le coup une fois qu’on aperçoit cette vue unique sur l’océan et la côte… Après cette petite halte vertigineuse, nous partons vers un autre lieu impressionnant de l’île : Fajã dos Padres, où nous attendait une télécabine pour descendre la falaise jusqu’à la plage. Si on m’avait dit un jour que je prendrais une télécabine à Madère, je ne l’aurais jamais cru, et autant vous dire que c’est une étape qu’il ne faut absolument pas rater. La descente est impressionnante car très pentue mais le jeu en vaut la chandelle tellement la vue est magnifique. Une fois la terre ferme retrouvée, nous traversons des jardins et champs de bananiers pour rejoindre notre restaurant pour le déjeuner. Bon forcément nous avons pris du Bolo do Caco pour démarrer mais ensuite nous avons fait la découverte d’une autre spécialité : les apas grelhadas, appelées en français les palettes grillées ou chapeaux chinois. Ces délicieux coquillages se dégustent habituellement à l’apéritif avec un peu de beurre, de l’ail (et oui toujours) et un filet de jus de citron. Un régal ! Après une petite pause détente au bord de l’eau, nous montons à bord d’un zodiac pour un trajet maritime sportif jusqu’à Funchal. Pas de dauphins à l’horizon aujourd’hui, quel dommage, mais vous aurez peut-être la chance d’en croiser si vous participez à l’une des excursions organisées par les équipes de Rota dos cetaceos. Après cette petite aventure sur l’eau, nous retournons dans les hauteurs de Madère pour l’une des expériences les plus fun que j’ai pu faire en voyage. S’il y a bien une activité à laquelle je ne m’attendais pas pendant ce séjour, c’est bien celle-ci. Vous êtes prêts ? Nous avons descendu les rues de Monte à Funchal à bord d’un traineau en osier. Alors vous ne vous y attendiez pas à celle-la hein ?! Après avoir pris place dans notre traineau, nous sommes légèrement tirés par 2 madériens puis c’est le début de la descente jusqu’à Funchal. Je vous conseille d’aller jeter un oeil sur leur site internet pour que vous vous rendiez plus compte de ce que ça donne; mais franchement c’est une expérience à faire. Avec Mylène nous avons rigolé du début à la fin !

Après cette après-midi forte en émotions, nous retournons à l’hôtel chercher nos valises puis filons vers notre deuxième hébergement du voyage. Nous logeons cette fois au VidaMar Resort Hotel Madeira, surement l’un des plus bels hôtel de Funchal. Non seulement il est sublime et les chambres immenses… mais elles ont surtout la particularité d’être toutes, je dis bien toutes sans exception, dirigées vers l’océan. Toutes les chambres ont donc une vue à couper le souffle, et autant vous dire que regarder le coucher et le lever du soleil de son lit est un véritable plaisir… Après avoir fait un petit tour du propriétaire et un plouf dans la piscine de l’hôtel, c’est déjà l’heure de dîner, et cette fois nous avons rendez-vous au Nini Design Center, l’un des restaurants les plus chics de la ville. Pas de Bolo de Caco cette fois, mais une cuisine moderne et raffinée. Une fois de plus nous repartons vers nos chambres le ventre plein pour faire un bon gros dodo.

Un nouveau réveil très, très, très matinal pour moi car je voulais absolument capturer le lever du soleil. Ce qui est chose faite et j’avoue que je ne suis pas peu fière de résultat. Petit passage au restaurant de l’hôtel pour prendre le déjeuner avant notre départ pour un safari photo au coeur de Madère. Très sincèrement, je connaissais très peu de choses sur Madère avant de visiter l’île et franchement je ne m’attendais absolument pas à découvrir des paysages aussi magnifiques, surprenants et différents à seulement quelques kilomètres les uns des autres. Nous sommes tout d’abord monté jusqu’à Eira do Serrado à 1095m d’altitude pour découvrir le magnifique point de vue sur la commune de Curral das Freiras, ou plus communément appelée la vallée des nones. C’est au coeur de la brume, entre quelques rayons de soleil que nous avons pu découvrir ce tout petit village presque coupé du monde. Nous montons de nouveau, à 1818m cette fois pour rejoindre le Pico do Areeiro, qui est le deuxième point le plus haut de l’île. Malheureusement pour nous, il y avait beaucoup de nuages ce jour là mais même dans ces conditions climatiques, le paysage vaut vraiment le détour. Juste le temps de faire quelques photos et nous redescendons vers la ville de Santana pour déjeuner au Quinta do Furão.

Une fois de plus, nous profitions d’un déjeuner avec une sublime vue sur l’océan et la côte (quand je vous disais qu’il était impossible de ne pas avoir de vue sur cette île). Après un bon déjeuner accompagné de quelques Bolo de coco haha, nous descendons dans la cave du restaurant pour une petite cession de Wine Tasting. Car oui, il ne faut pas l’oublier, nous étions quand même là pour la fête du vin ! Bon je rappelle bien sûr qu’il faut toujours boire avec modération et que le principe d’un Wine Tasting est de recracher le vin après l’avoir goûté, et pas de tout boire (même si parfois on se laisserait bien tenter…). Une fois le Tasting terminé, nous reprenons une fois de plus la route vers un dernier point de vue impressionnant de Madère : la Ponta do Rosto à Caniçal. De ce point de vue, il est possible de voir à la fois la côte Nord et la côte Sud de l’île de Madère, et lorsque le temps est dégagé, on peut même apercevoir l’île de Porto Santo. Le temps de prendre quelques photos, d’apprécier cette sublime vue et nous devons déjà retourner vers Funchal pour notre dernière nuit à Madère.

Dernier lever de soleil à Madère pour notre petite équipe et nous filons dans le centre ville pour faire un tour au marché local et découvrir la partie ancienne de la ville. Une promenade sous le soleil agréable et apaisante avant de voir Mylène et Manuella nous quitter pour rejoindre la France. Je reste encore quelques heures avec Morgane, le temps de profiter d’un dernier restaurant, de quelques Bolo do Caco et d’une visite au Musée de la Broderie et de l’Artisanat de Funchal. Car pour celles et ceux qui ne le savaient pas, Madère n’est pas seulement connu pour son vin, mais aussi pour sa délicate broderie, reconnue dans le monde entier.

C’est la tête remplie de découvertes et de paysages merveilleux, que nous partons vers l’aéroport afin de rejoindre Paris. Ces quelques jours à Madère ont été un véritable rêve éveillé et je ne peux que vous conseiller de tenter l’expérience vous aussi. Madère est une île qui renferme de nombreux trésors qui n’attendent que vous !

Tarte rustique panais, carottes, châtaignes et oignons confits au sirop d’érable

Je ne sais pas chez vous mais par ici ça commence à sentir bon les fêtes de fin d’année… J’ai commencé à réfléchir à mon menu de réveillon (oui il était temps haha) et je me suis dit que ce serait sympa de partager avec vous une idée recette à laquelle j’ai pensé. Alors si vous êtes à la recherche d’une recette de chapon farci, désolée de vous décevoir mais ce n’est pas au programme. Par contre, si vous recherchez une petite recette sympa, originale, gourmande, avec de bons légumes et hyper simple à préparer, je pense avoir ce qu’il vous faut ! Parce qu’il n’y a pas que la volaille dans la vie, il y a les tartes aussi !

Pour celles et ceux qui ont l’habitude de me suivre, vous savez à quel point j’aime préparer mes pâtes à tarte maison. Mais il est vrai que ce n’est pas forcément le cas pour tout le monde et d’autant plus au moment des fêtes lorsqu’on a aussi 50 toasts à tartiner, les huîtres à ouvrir et la bûche à préparer… Bref, pour se faciliter un peu la vie, on choisit de réaliser cette recette avec une pâte brisée au beurre frais Croustipate. On y ajoute quelques jolies carottes, du panais, des châtaignes, et des oignons doucement confits au sirop d’érable… Mmmmh rien que de vous en parler, j’en envie d’en refaire une. Allez, trêve de bavardage, car je sens que vous aussi vous aimeriez bien en préparer une !

Ingrédients pour une tarte de 6 personnes :
• 2 pâtes brisées au beurre frais Croustipate
• 2 panais
• 3 carottes
• 3 gros oignons
• 15cl de sirop d’érable
• 80 g de châtaignes cuites + 20g pour le dressage
• 20 g de beurre
• Sel, poivre
• 1 jaune d’oeuf pour la dorure

Préparation :
Éplucher les panais et les carottes, puis les couper en lamelles.
Éplucher et émincer les oignons.
Faire revenir les oignons dans une noisette de beurre jusqu’à ce qu’ils soient translucides.
Incorporer les châtaignes émiettées et ajouter le sirop d’érable.
Laisser cuire quelques minutes, puis les retirer de la poêle lorsqu’ils commencent à caraméliser. Réserver.
Dans la même poêle, faire fondre le reste de beurre et faire revenir les lamelles de panais et de carottes pendant 15 minutes, en retournant les lamelles régulièrement.
Préchauffer le four à 180 °C.
Dérouler une pâte puis étaler le mélange oignons – châtaignes au sirop d’érable en laissant un bord de 4 cm.
Disposer dessus les lamelles de panais et de carottes.
Rabattre la pâte sur la garniture. Saler et poivrer.
Ajouter quelques brisures de châtaignes.
Dérouler la seconde pâte et réaliser des décorations: feuilles, flocons, étoiles,… à l’aide d’un emporte pièce.
Battre le jaune d’oeuf, badigeonner le bord de la tarte à l’aide d’un pinceau, puis déposer les décorations réalisées avec la pâte par dessus.
Badigeonner de nouveau de jaune d’oeuf.
Glisser la tarte sur une plaque de cuisson et enfourner 30 minutes.

Article sponsorisé

Soupe de topinambours, chou-fleur et lait de noisettes

Je vous ai déjà parlé par ici de mon amour pour les soupes maisons… Et on arrive enfin dans cette période de l’année où les températures commencent à tomber et qu’on peut enfin ressortir ses petits bols, son mixeur et se préparer de délicieux bouillons, et autres veloutés. Pour cette nouvelle recette, je me suis laisser tenter par un mélange de saveurs un peu sucrées – salées. J’ai choisi d’associer du chou-fleur à du topinambour (j’adore son petit goût qui fait penser à la noisette) pour obtenir une soupe douce et réconfortante. Pour apporter de l’onctuosité et encore plus de gourmandise, j’ai troqué le traditionnel bouillon de légumes (même s’il y en a un peu vous le verrez), pour du lait de noisettes. Et pour twister cette recette, j’ai décidé d’ajouter une touche de zaatar de chez Nomie. Allez jeter un oeil à leur site, ils proposent pleins de délicieux mélanges d’épices ! J’ai également ajouté du granola salé au fenouil et aux épices de Catherine Kluger, une vraie petite pépite (comme le reste de ses granolas d’ailleurs).

J’espère que cette petite recette vous plaira autant qu’à moi !

Ingrédients pour 4 bols :
• 400g de topinambours
• 1/2 chou-fleur
• 10g de beurre
• 75cl de lait de noisette à température
• 20cl de bouillon de légumes chaud
•  Sel
• Poivre

Pour le dressage :
• Huile d’olive
• Zaatar
• Granola salé
• quelques fleurettes de chou-fleur
• quelques feuilles de sauge

Préparation : 

Peler et couper les topinambours en morceaux.
Couper le chou-fleur en petits morceaux, en réservant quelques fleurettes pour le dressage.
Faire fondre le beurre dans une grande casserole, ajouter le chou-fleur et les topinambours.
Laisser cuire 5 minutes à feu vif tout en remuant.
Verser le lait de noisette et le bouillon de légumes dans la casserole pour couvrir les légumes.
Porter à ébullition, puis baisser le feu et laisser cuire pendant 20 minutes.
Mixer à l’aide d’un blender ou d’un mixeur plongeant jusqu’à obtention d’une texture lisse.
Saler, poivrer.
Verser la soupe dans les bols puis ajouter un trait d’huile d’olive, du granola salé, quelques pincées de zaatar, quelques fleurettes de chou-fleur finement coupées et quelques feuilles de sauge.

La fameuse recette des pancakes au butternut

Cela faisait bien longtemps que je ne vous avais pas partagé une recette par ici. Depuis le 3 septembre à vrai dire, et j’avoue que j’ai un peu honte… mais c’est pour la bonne cause car j’étais occupée à vous préparer une belle petite surprise pour 2018. Un nouveau projet qui me tient énormément à coeur et dont j’ai hâte de vous parler. Mais pour le moment motus. Du coup pour vous faire patienter je me suis dit que j’allais vous partager une petite recette que vous avez été nombreux et nombreuses à me demander sur Instagram après avoir vu passer une certaine photo. Vous voyez de quoi je parle ? Oui, il s’agit bien de la fameuse photo des pancakes au butternut, qui a rencontré un succès auquel je ne m’attendais pas vraiment. Je sais que vous aimez les pancakes (sincèrement qui n’aime pas ?!!) mais je ne m’attendais pas à tant d’enthousiasme autour de cette recette. Et autant vous dire que ça m’a fait extrêmement plaisir. Il fallait donc que je vous partage la recette sans attendre pour que vous puissiez vous aussi goûter à ce petit délice. Attention, risque d’addiction…


Ingrédients pour une douzaine de pancakes :
• 1/2 butternut (environ 250g)
• 6cl de sirop d’érable
• 10cl + 30cl de lait d’amande
• 2 oeufs
• 40g de sucre
• Les graines d’une gousse de vanille
• 300gr de farine
• 2 c. à c. de levure chimique


Préparation 
Étape 1 -> la purée de butternut
Préchauffer le four à 190°C.
Évider le butternut puis réaliser des incisions dans la chair à l’aide d’un couteau.
Placer le demi butternut dans un plat allant au four et l’arroser de sirop d’érable.
Enfourner pour 30 minutes.
Laisser le butternut refroidir.
Une fois refroidi, récupérer la chair du butternut à l’aide d’une cuillère.
Placer la chair dans un mixeur avec 10cl de lait d’amande puis mixer jusqu’à obtenir une purée bien lisse.
Réserver.

Étape 2 -> les pancakes
Dans un bol, mélanger les oeufs, le sucre et la vanille.
Battre jusqu’à ce que le mélange soit bien mousseux.
Incorporer la purée de butternut et mélanger de nouveau.
Puis ajouter la farine, la levure et le lait d’amande.
Mélanger jusqu’à obtenir un mélange homogène.
Légèrement huiler une petite poêle.
Puis verser une louche de pâte à pancake.
Lorsque des bulles se forment sur le dessus du pancake, le retourner et cuire encore quelques secondes.
Réitérer l’opération jusqu’à épuisement de la pâte.

A déguster encore chaud avec une bonne cuillerée de chantilly, des noix de pécan, des copeaux de noix de coco et une bonne dose de sirop d’érable !

Un weekend en Normandie avec Drivy

J’ai l’impression que c’est en train de devenir une habitude par ici de vous partager des articles qui donnent envie de voyager alors que nous sommes lundi et que tout le monde est au boulot… J’espère que vous ne m’en voulez pas surtout, mais je me dis qu’il n’y a rien de mal à débuter la semaine du bon pied en rêvant de la prochaine escapade qui nous attend.

Aujourd’hui je reviens sur un super weekend passé en compagnie de la jolie Mégane que vous commencez pas mal à connaitre par ici car nous sommes souvent ensemble, de la pétillante Anne que je rencontrais pour la première fois ainsi que du talentueux Loris qui nous a concocté une super vidéo dont je vous parlerai un peu plus tard dans cet article. C’est donc ensemble que nous sommes partis pour un petit weekend en Normandie à l’occasion du festival « Cabourg mon amour » qui se déroule, comme vous l’aurez surement deviné, à Cabourg ! Cette petite escapade était l’occasion parfaite pour tester l’application Drivy qui permet de louer des véhicules entre particuliers. Car on ne va pas se mentir, avoir un véhicule à soi ça coute quand même relativement cher et lorsqu’on habite Paris, on n’en a pas toujours l’utilité, ni même l’emplacement nécessaire pour la garer… Un enfer, et je pense que pas mal d’entre vous savent de quoi je parle. Enfin bref, du coup Drivy était pour nous l’option idéale pour louer rapidement et à moindre coût une voiture pour le weekend. L’application est hyper simple à utiliser, il suffit d’entrer notre adresse, la date de départ et de retour et l’application nous propose une multitude de véhicules à louer dans les environs. Une fois le véhicule de nos rêves trouvé, il ne reste plus qu’à confirmer la réservation, régler la commande et entrer en contact avec le  propriétaire de la voiture pour se donner un lieu de rendez-vous. A nous les grands espaces et l’air iodé !

Une fois notre petite voiture en main, nous avons filé sur l’autoroute direction Honfleur pour un premier stop. L’occasion pour moi de découvrir la ville pour la première fois et aussi surtout de s’arrêter déjeuner, car ce n’est pas le tout mais la route ça creuse ! Une fois notre déjeuner terminé, nous avons un peu flâné à la découverte des petites boutiques et ruelles toutes mignonnes de la ville. J’en ai également profité pour me prendre une bonne gaufre au caramel beurre salé (bah quoi j’avais faim…). Une fois notre balade terminée, nous reprenons la route en direction de Cabourg. Nous faisons un arrêt à l’hôtel pour déposer notre valise puis nous filons vers le festival qui se déroule sur la grande plage de Cabourg et où nous attendait une belle programmation musicale. Entre deux déhanchés, nous nous arrêtons sur les différents stands du festival pour se désaltérer et prendre un petit truc à manger. On y retrouve les copains de chez Sassy et leur super cidre, ainsi que les Niçois et leur bons petits pan bagnat. Puis nous retournons sur le dancefloor pour terminer la soirée au son du super groupe Paradis.

Après une bonne nuit de sommeil, on reprend la voiture en direction du Domaine St-Clair, un magnifique hôtel avec une vue imprenable sur Étretat. On profite d’un petit apéritif sur la terrasse avant de poursuivre avec un déjeuner exceptionnel réalisé par le chef Olivier Foulon. Ici on met l’accent sur les produits locaux et de qualité, et autant vous dire que nous nous sommes régalés. Après avoir dégusté un petit café et une dernière mignardise, nous filons vers un aérodrome pour s’envoler quelques minutes dans le ciel de Fécamp. C’était la première fois de ma vie que je montais dans un petit avion comme celui-ci. J’avoue que j’avais un petit stress au départ mais une fois dans les airs le stress a disparu pour laisser place à l’émerveillement. Découvrir la côte et les falaises du ciel était tout simplement magique ! Une fois les pieds de nouveau sur terre, nous reprenons la voiture et roulons en direction des falaises d’Étretat. C’était le moment que j’attendais avec impatience depuis le début de ce voyage. J’avais déjà vu passer de nombreuses photos de ces sublimes falaises sur Instagram mais les voir en vrai était encore plus impressionnant. Je suis toujours fascinée par la manière dont la terre s’est façonnée avec le temps et les falaises d’Étretat sont un parfait exemple de la beauté de notre planète. Après avoir pris une centaine de photos (au moins) et admiré le coucher de soleil, nous sommes redescendus de la falaise pour profiter d’un petit pique-nique au grand air avant de rentrer à l’hôtel.

Dernier réveil en Normandie, juste le temps de prendre un petit déjeuner, de faire la valise et nous sommes repartis en direction de Paris où nous attendait gentiment le propriétaire de la voiture.

J’espère que ces photos et mes quelques mots vous auront donné envie de partir à la découverte de la Normandie. Et si jamais je n’ai pas réussi à complètement vous convaincre, je suis sur que cette petite vidéo réalisée par Loris le fera !
Et pour celles et ceux qui souhaiteraient comme moi tester DRIVY, voici un code : DRIVYPLUSUNEMIETTE pour profiter de 10€ offerts sur votre première location. (code valable jusqu’au 31 décembre 2017).