J’ai une grosse passion pour les ramen depuis longtemps mais j’avoue qu’il m’aura fallu du temps pour sauter le pas et en préparer moi même à la maison. Il y a quelques semaines je vous partageais ma première recette au poulet frit, et aujourd’hui c’est une version un peu plus originale que je vous propose puisqu’elle est à base d’agneau. Ce n’est pas une viande qu’on trouve traditionnellement dans la cuisine japonaise, mais je me suis dit que l’accord pouvait bien marcher. Et sans vouloir me jeter des fleurs, ça fonctionne plutôt très bien ! J’espère que cette recette vous plaira autant qu’à moi, hâte de voir vos réalisations.
Il y a quelque temps j’ai eu la chance de recevoir un beau colis de la part de Umami Paris. Pour celles et ceux ne connaitraient pas encore, Umami est une société qui importe des produits Japonais en France. L’équipe source et sélectionne ses produits directement auprès des artisans pour ensuite les proposer à la vente sur son site. Vous le verrez par vous même en y allant, c’est une vraie mine d’or. Il y a tellement de choix, beaucoup de produits qu’on ne trouve habituellement pas en France, et autant vous dire que j’ai envie de tout tester haha. Bref, ils ont eu la gentillesse de m’envoyer une petite sélection en fin d’année 2020 et j’ai ENFIN pris le temps de me plonger dedans en testant une petite recette. Je me suis donc lancée dans un ramen au poulet frit. Une version plutôt simple qui je l’espère vous plaira !
Je ne sais pas vous mais moi cela fait déjà plusieurs années que ma soirée du Nouvel An rime avec dîner entre amis avec jeux de sociétés. Il est bien loin le temps des grosses soirées en boîte de nuit haha ! Et qui dit dîner entre amis, dit souvent apéro dînatoire. C’est très convivial, pas besoin de passer des heures en cuisine pendant que les invités sont là, on peut préparer pas mal de choses en avance et surtout on se régale avec plusieurs petites préparations ! Du coup, je me suis dit que je ne devais pas être la seule à faire un apéro entres amis pour le Nouvel An et que vous deviez surement, vous aussi, être à la recherche d’idées recettes pour votre soirée. Et ça tombe plutôt bien, car pour ma dernière collaboration de l’année avec Grand Frais, nous avons décidé de vous proposer un super apéro dinatoire. Car on ne va pas se mentir, s’il y a bien un endroit où on peut trouver tous les ingrédients d’un bon apéro, c’est bien chez Grand Frais. Entre les étales de fruits et légumes dans lesquels j’ai notamment pioché des pommes, des poires ou du chou fleur; l’énorme choix au rayon épiceries : les mélanges de fruits secs (gros coup de coeur pour les noix de cajou aux différentes saveurs : curry, truffe, poivrées…), les gâteaux apéritifs, les tartinables, les petits pains,…; la fromagerie où j’ai pu trouver Saint-Nectaire et Gruyère Suisse, la boucherie qui propose un large choix de produits de fêtes comme les chapons ou magrets de canard, et le rayon poissonnerie qui met les petits plats dans les grands avec une sélection de produits d’exception comme le homard ou les Saint-Jacques ! Pour cet apéro dinatoire du Nouvel An, je vous propose 8 recettes très simples à réaliser et surtout pleines de saveurs. De quoi régaler nos 6 convives autorisés ou 4 gros mangeurs ! Des crostini de magret de canard aux pommes, un délicieux dip de noix de cajou au curry, des minis bouchées feuilletées au gruyère suisse et cranberries, 2 recettes de minis burger : Saint-Nectaire et oignons confits ou façon Lobster Roll, des gressins enrobés de chèvre frais et pistache, des minis toasts de jambon cru, poire et crème de figues séchées et un cocktail de Noël au Prosecco.
Je ne sais pas vous, mais moi j’adore les udons. Ces grosses nouilles japonaises garnissent souvent mes petites soupes ou bouillons durant l’hiver mais cette fois-ci j’ai décidé de les accompagner de morceaux d’agneau marinés et d’une bonne sauce pleine de saveur. Une recette épicée et pimentée, entre le gingembre, l’huile pimentée, le cumin, la coriandre et le poivre, qui permet de réchauffer les coeurs et les corps pendant l’hiver ! Une recette que j’ai réalisé pour l’interprofession de l’agneau qui m’a une fois de plus mise au défi d’imaginer une recette originale et réconfortante à base d’agneau. Cette recette est super simple à réaliser et nécessite très peu de temps de préparation, de quoi convaincre même celles et ceux qui n’aiment pas passer des heures en cuisine.
Après vous avoir proposé ma petite recette de Raviolis au potimarron et sauce crémeuse au fromage à la truffe il y a quelques jours, me voici de retour avec une nouvelle recette de fêtes imaginée pour Grand Frais. Et cette fois-ci je m’attaque au plat principal. Alors, je ne sais pas vous mais traditionnellement dans ma famille, on mange une grosse pièce de volaille à Noël. Pour celles et ceux qui se souviennent, j’avais d’ailleurs réalisé l’année dernière une délicieuse recette de Dinde de Noël au paprika fumé. C’est vrai que chez Grand Frais le choix est encore une fois très large de ce côté là entre le chapon, la dinde, la poularde, la pintade, le canard, le pigeon, … il y a de quoi faire sur le stand boucherie. Cette année, comme nous serons moins autour de la table, j’ai décidé de choisir la caille comme pièce principale de ma recette. Pour le coté festif, j’ai décidé de l’associer avec une farce au pain d’épices et pommes, et une poêlée de champignons et pommes. J’adore le côté sucré-salé et je trouve que cela fonctionne particulièrement bien pour les farces de volaille. Cette recette est super simple à réaliser et demande très peu de temps de préparation en cuisine, de quoi être disponible pour ses convives le soir du réveillon.
Les fêtes approchent et malgré la situation un peu étrange cette année, je compte bien me faire plaisir dans l’assiette à Noël. J’ai bien envie de me cuisiner de bons petits plats et je me dis que ça doit surement être pareil pour vous. Que vous fassiez les fêtes en solo, duo ou en petit groupe, on à tous clairement envie de passer un bon moment autour de la table et pour cela, rien ne vaut un bon repas fait maison. Du coup, ces prochaines semaines, je vais partager pas mal de recettes qui devraient vous donner des idées pour vos repas de fin d’année. Et ça tombe plutôt bien, puisque Grand Frais m’a de nouveau mis au défi d’imaginer des recettes de fêtes avec leurs produits. Pour cette première recette, c’est le fromage qui est à l’honneur, et autant vous dire que chez Grand Frais ce n’est pas ce qui manque. Ils ont des dizaines de références, du Comté à l’Abondance, en passant par le bleu d’Auvergne, la fêta, le maroilles, l’Ossau-Iraty, la burrata,… Et pour cette recette, c’est sur un délicieux fromage à la truffe que j’ai jeté mon dévolu. Un bon brie au lait cru, garni de morceaux de truffe… Je ne sais pas vous mais moi j’adore ça, et selon moi s’il y a bien une chose qui s’associe parfaitement avec le fromage à la truffe, c’est bien les pâtes. Mais ne vous inquiétez pas, on parle bien d’un repas de fêtes, donc hors de question de faire de simples coquillettes (même si c’est très bon haha). Pour cette recette je vous propose de réaliser des raviolis au potimarron. Alors dit comme ça, je sais, ça fait peur, mais je vous promets, rien de bien difficile dans cette recette ! Il suffit juste d’un peu de patience, d’un bon laminoir et le tour est joué. Et je peux vous promettre que ça vaut vraiment le coup une fois qu’on trempe ses lèvres dans la sauce au fromage à la truffe et qu’on croque dans une raviole… rien que de vous en parler ça me donne envie d’en refaire.
CIAO A TUTTI ! Du 23 au 29 novembre c’est la semaine de la cuisine italienne dans le monde ! Pour fêter ça, L’Office National Italien du Tourisme (ENIT), et l’agence Italienne pour le Commerce Extérieur (ICE), m’ont mis au défi de réaliser une recette traditionnelle italienne ! Le choix n’a pas été facile, je l’avoue, car toutes les recettes italiennes me font terriblement envie, mais je me suis finalement lancée dans la réalisation de trofie al pesto. Un petit clin d’œil à la jolie ville de Gênes que j’ai eu l’occasion de visiter à plusieurs reprises et que j’adore. J’avais d’ailleurs réalisé un petit City Guide de la ville que vous pouvez retrouver juste ici. C’est de Gênes qu’est originaire le pesto, et c’est dans cette région qu’est produit le fameux basilic Genovese DOP, incontournable pour la réalisation du pesto Genovese.
Vous le verrez c’est une recette très facile à reproduire à la maison, et qui ne nécessite aucun ustensile farfelu à par vos mains. De quoi vous donner envie de vous lancer à votre tour dans la réalisation de pâtes maison. Parce qu’on ne va pas se mentir, les pâtes maison c’est quand même mille fois meilleur ! Et en plus ça permet de s’occuper durant les longues soirées d’automne (ou les longues journées de confinement haha).
Juste avant de vous laisser avec la recette, je vous invite à vous rendre sur le compte Facebook d’Italie Tourisme ENIT ce dimanche 29 novembre pour un petit concours surprise !
Je ne sais pas si je vous l’ai déjà dit par ici mais l’automne est vraiment ma saison préférée ! C’est peut-être parce que je suis née en automne, mais aussi surement parce que c’est la saison du retour des pommes, des poires, du fromage fondu, des plats réconfortants mais aussi surtout des courges. Je vais être honnête avec vous, je voue une véritable passion pour les courges. Que ce soit les potirons, les potimarrons, les jack be-little, les butternut, les patidoux, les musquée, les pâtissons,… bref je ne vais pas vous faire toute la liste, je crois que vous avez compris haha. Et je vous laisse donc imaginer la joie dans laquelle je me suis trouvée quand Grand Frais m’a dit que ce mois-ci c’était la courge qui était à l’honneur et qu’il fallait que je crée une petite recette sublimant l’une de ces cucurbitacées. Le choix a été assez difficile car je les aime vraiment toutes et surtout elles sont quasiment toutes trouvables chez Grand Frais, qui chaque année à cette saison propose un large choix de courges sur ses étales. J’ai finalement jeté mon dévolu sur le butternut. Peut-être parce que c’est celui qui a selon le moi le plus ce petit côté sucré qui me plait tant dans la courge. Et pour le magnifier, j’ai décidé de l’utiliser pour réaliser des gnocchis accompagnés d’un bon beurre de sauge, de chips de chou kale et de noix de pécan. Encore une bonne recette doudou qui va vous réconforter tout l’automne et l’hiver, je peux vous l’assurer !
Pour celles et ceux qui me suivent sur Instagram, vous vous souvenez peut-être que j’ai eu la chance de visiter les salins d’Aigues-Mortes cet été avec Le Saunier de Camargue. L’occasion notamment de découvrir la récolte de la fleur de sel et d’avoir un petit aperçu du métier de saunier. Je suis rentrée de cette visite avec des étoiles dans les yeux (ces étendues d’eau rose c’est quand même assez magique !) et surtout les bras chargés de sel. Et bien entendu, vous vous doutez que Le Saunier de Camargue m’a mise au défi d’imaginer une recette à base de l’un de leur produit. Et c’est finalement sur le gros sel que le choix s’est arrêté. Pour cette recette, j’ai voulu tester un mode de cuisson que je n’avais encore jamais expérimenté : la cuisson en croûte de sel. C’est quelque chose que j’ai déjà pu goûter dans des restaurants, notamment avec du poisson, mais j’ai eu envie de tester cette technique avec des légumes. Et c’est sur la betterave que j’ai jeté mon dévolu. Pour info, la cuisson en croûte de sel permet de concentrer les saveurs des produits et aussi de les rendre bien tendre. Dans ma version, j’ai décidé d’apporter de la saveurs à ma croûte de sel en ajoutant du raifort, de l’aneth et des zestes de citron. Des saveurs qui se marient particulièrement bien avec la betterave selon moi ! J’espère que cette petite recette super simple vous plaira et nous donnera aussi envie de tester cette fameuses technique de cuisson.
Il y a quelques jours, Grand Frais m’a mis au défi de revisiter une recette à base de viande en version sucrée/salée. Je me suis souvenue d’une recette que j’aimais bien manger quand j’étais petite, c’était le filet mignon au lard. C’est le genre de plat du dimanche hyper simple à faire et qui fait toujours son petit effet wouah. Dans ma version revisitée, j’ai décidé de laquer le lard avec du sirop d’érable. Oui vous commencez à bien me connaître par ici, vous savez que le sirop d’érable c’est un peu ma passion et que j’ai tendance à en mettre un peu partout… mais en même temps c’est si bon, donc comment y résister ?! Bref, cette petite variante, j’ai décidé de l’accompagner d’une bonne purée maison au panais (pour changer du traditionnel combo viande / pomme de terre haha) et l’association est plutôt pas mal du tout ! Vous m’en direz des nouvelles.